Quel complément alimentaire pendant ma grossesse ?

Lors de ma grossesse, pour éviter les carences nutritionnelles et pour le bon développement de mon bébé, je pense à me complémenter ! <br>Car on l'oublie souvent, mais par exemple, jusqu'à 20 % des femmes développent un anémie pendant le 3ème trimestre de leur grossesse !
Quel complément alimentaire pendant ma grossesse ?

La grossesse est une période de bouleversements psychiques, émotionnels et physiques. Dès les premières semaines, nausées, vomissements, fringales, voire de nouvelles aversions alimentaires, peuvent compliquer notre alimentation et rendre l’assimilation des nutriments et des vitamines difficile. Or, avec un corps qui se modifie chaque jour et dont les réserves nutritionnelles sont mobilisées pour « fabriquer » un petit être humain, l’importance d’apports suffisants et adaptés au bon fonctionnement de notre organisme de femme enceinte est capital ! Et si l’on faisait un point sur les carences qu’il faut veiller tout particulièrement à éviter durant les mois de grossesse et sur les moyens de les corriger ?

10 à 20 % des femmes développent une anémie pendant le 3ème trimestre de leur grossesse !


Le Fer : un besoin qui ne cesse de croître au fil des mois !

Le fer est un constituant essentiel de l’hémoglobine, protéine présente dans les globules rouges, dont la principale fonction est de transporter l’oxygène dans l’organisme. Pendant la grossesse, les besoins en fer augmentent : de 1 mg de fer au 1er trimestre, ce sont 8 mg de fer par jour qui seront nécessaires au 3ème trimestre pour couvrir les besoins de l’organisme maternel et permettre la croissance et le bon développement du fœtus. Or, les apports en fer de notre alimentation, qui ne sont pas toujours suffisants en temps normal chez les femmes en règle générale, sont loin d’être systématiquement ajustés aux besoins de notre grossesse ! Les conséquences ? En cas de carence en fer importante, en particulier dans la seconde partie de la grossesse, la naissance de l’enfant peut être prématurée et/ou enfant présenter un faible poids. Des troubles cardiaques et respiratoires sont aussi possibles dans des cas de carences sévères et prolongées. Côté future maman, le constat est tout aussi préoccupant : fatigue intense, vertiges, maux de tête, essoufflement anormal sont fréquents. Plus préoccupant encore, le risque de moins bien tolérer les pertes sanguines durant l’accouchement est à prendre en compte. Pour éviter ces complications, une alimentation riche en fer peut suffire, mais le médecin pourra prescrire une supplémentation s’il la juge utile.

+ de fer pendant ma grossesse ?
La viande rouge, les œufs (surtout dans le jaune), le poisson, que je mange bien cuits pour limiter le risque de contamination par des bactéries, sont mes meilleurs amis ! Bien que les abats, les crustacés et fruits de mer soient très riches en fer, il convient de demander l’avis de mon médecin avant de les consommer durant la grossesse. En revanche, je peux ajouter aux apports en fer provenant de la viande, des apports provenant de végétaux : spiruline (algue), lentilles, pois chiches ou encore aux haricots rouges sont des alliés !

PhysioFER

Complément alimentaire à base de Fer haute assimilation, haute tolérance.

14,20 €


Le Magnésium : essentiel au développement des os de Bébé !

Le magnésium fait partie des éléments minéraux indispensables au bon fonctionnement de notre organisme. Le corps d’un adulte en renferme environ 25 g, répartis dans nos os (plus de 50% !) et dans nos muscles. Indispensable à notre santé, il est extrêmement important pendant la grossesse en raison de besoins accrus. En effet, le fœtus a besoin d’un apport en magnésium suffisant pour une formation osseuse normale : 5 à 7,5 milligrammes de magnésium sont nécessaires par jour à la formation de ses os et de ses tissus corporels pendant les trois derniers mois de la grossesse ! Du côté de la future maman, la encore les conséquences sont à prendre au sérieux : un manque de magnésium entraîne une grande fatigue, de la nervosité et de l’anxiété. Des troubles du sommeil, des douleurs musculaires ou encore des palpitations et/ou une gêne respiratoire peuvent aussi s’inviter. Pour les éviter, il est capital de surveiller ses apports en magnésium et de ne pas négliger une supplémentation via des compléments alimentaires.

+ de magnésium pendant ma grossesse ?
Les aliments les plus riches en magnésium sont les fruits à coque, les aliments céréaliers complets, les légumes secs, les fruits et légumes frais, les viandes, les poissons et les produits laitiers. Certaines eaux minérales apportent par ailleurs plus de 50 mg de magnésium par litre, une source de complémentation à ne pas négliger !

PHYSIONORM™ Magnésium Bisglycinate + Oméga-3

Formule anti-fatigue : Magnésium Bisglycinate, Oméga 3, Probiotiques et Vitamine B6.


Les Oméga 3 : indispensables à la santé de Maman et au bon développement des cellules et du cerveau de Bébé !

Les oméga-3 sont des nutriments appartenant à la classe des lipides (autrement dit des matières grasses). Plus précisément, ce sont des acides gras polyinsaturés. Il en existe trois principaux, qui sont dit « essentiels » parce que notre corps ne sait pas les fabriquer en autonomie : les ALA (acides alpha-linoléniques issus de végétaux), qui doivent donc être apportés par l’alimentation, les EPA (l'acide éicosapentaénoïque) et les DHA (l'acide docosahexaénoïque) que notre corps peut produire… à condition de disposer d’ALA en quantité suffisante ! Le DHA et l’EPA, des oméga-3 essentiels participent à la bonne santé artérielle, cardiaque et cérébrale des futures mamans. Quant à l’enfant à naître, ils lui sont tout bonnement indispensables : le DHA (dérivé oméga 3) est le principal « carburant cérébral » du fœtus, dont la taille du cerveau augmente de 3 à 5 fois dans le dernier trimestre ! Associé aux omega-6, il participe à la formation de ses neurones et au bon développement de son système nerveux. On ne saurait donc les négliger, et là encore, une supplémentation peut être très utile…



Où trouver des oméga 3 ?
Fruits à coque (noix, amandes, noisettes), poisson gras (saumon, maquereaux, sardines, thon, harengs) et huiles végétales (colza, lin ou encore chanvre) sont nos meilleurs alliés. Mais attention, on ne dénature pas ces bonnes huiles en les cuisant. On pense aussi aux Oméga-3 contenus en grande quantité dans les graines de chia, de lin ou de chanvre, qui apportent en plus un délicieux croquant à nos salades.

Pourquoi me supplémenter pendant ma grossesse ?

La supplémentation pendant la grossesse n’est pas obligatoire mais elle est fortement recommandée. Nos rythmes de vie moderne, nos habitudes alimentaires (et le bouleversement de notre alimentation pendant la grossesse !), ne permettent pas facilement de combler les besoins nutritionnels d’une femme enceinte. Se supplémenter avec ces compléments alimentaires adaptés permet d’apporter à son organisme, si sollicité pendant la période de procréation, tout ce dont il a besoin, pour lui-même, et pour l’enfant à venir.


Prendre des probiotiques pendant la grossesse, c’est offrir à bébé un microbiote sain qui l'aidera à se défendre !

Les cures de probiotiques pendant la grossesse sont utiles à bien des égards : elles permettent d’améliorer la digestion, de favoriser la bonne assimilation des nutriments et des vitamines qui seront essentiels au bon développement du fœtus, et de limiter le risque d’infections en renforçant le système immunitaire. Mais l’apport en probiotiques a bien d’autres atouts ! En effet, durant le dernier trimestre de grossesse (et en particulier le mois précédant l’accouchement), prendre un traitement probiotique, c’est aider son bébé à développer un microbiote sain qui lui permettra de bien digérer le lait et d’être moins sensible aux infections : au moment de la délivrance par voie basse, c’est en effet au contact du microbiote vaginal et intestinal de la mère que la flore intestinale de l’enfant va être colonisé et commencer à se développer !

PHYSIONORM™ Baby

Complément alimentaire pour renforcer le microbiote intestinal du nourrisson dès la naissance.


Sur un plan purement formel, les probiotiques sont des micro-organismes vivants. Ils sont similaires aux micro-organismes bénéfiques naturellement présents dans l'intestin humain (1). Aisément disponibles pour les consommateurs, nous les retrouvons sous forme de compléments alimentaires et d'aliments avec probiotiques ajoutés. Ainsi, la FDA, organisme de régulation américaine, considère que : « lorsqu'ils sont administrés en quantités adéquates, ils confèrent un bénéfice pour la santé de l'hôte » (2)En outre, études scientifiques et méta-analyses confirment que les probiotiques peuvent être pris pendant la grossesse. 



Les probiotiques en question sont pour la plupart des bactéries actives, issues des genres Lactobacillus et Bifidobacterium. Des levures à caractère non pathogènes tels que les Saccharomyces font également partie de cette catégorie probiotiques. Disponibles seuls ou associés, sous forme de comprimés, de gouttes, de liquides et de capsules orales, ils sont également retrouvés en moindre quantité dans de nombreux aliments fermentés, dont le yaourt. 


Études cliniques qui confirment l'absence de risque lié à la prise des probiotiques pendant la grossesse

Selon les études cliniques et les méta-analyses effectuées depuis les 40 dernières années chez les femmes enceintes, le risque de bactériémie et de fongémie induites par les probiotiques durant la grossesse s'avère faible (3). Il serait improbable qu'ils atteignent la circulation systémique du fœtus. Il est donc peu probable qu'ils induisent une nocivité. Une méta-analyse ainsi qu'un examen systématique de 8 essais contrôlés randomisés sur la prise de probiotiques chez plus de 1500 femmes enceintes ont été publiés. Dans ces études cliniques, la plupart des femmes ont commencé à prendre des probiotiques entre la 32ᵉ et la 36ᵉ semaine de gestation, jusqu'à l'accouchement. 

La prise de compléments alimentaires avec des Lactobacillus spp. seul ou en association avec des Bifidobacterium spp. contre placebo chez la femme enceinte ont été comparées dans les études incluses dans la méta-analyse. L'incidence des fausses couches ou des malformations n'a pas montré d'augmentation. Ce résultat était attendu, car la prise des probiotiques s'est tenue lors troisième trimestre. Elle n'était donc pas susceptible d'affecter l'organogenèse. Le poids de naissance, l'âge gestationnel ou l'incidence des césariennes n'ont pas montré de différences significatives.

Plusieurs essais contrôlés randomisés menés chez des femmes enceintes au troisième trimestre de la grossesse ont été publiés à la suite de la méta-analyse (4, 5, 6, 7). Ces études cliniques ont examiné les effets de Lactobacillus spp et de Bifidobacterium spp pris en monothérapie ou associés. Même si ces études n'avaient pas été réalisées pour évaluer les résultats de la grossesse directement, ces études n'ont pas démontré une augmentation des conséquences indésirables liés aux probiotiques. Deux études observationnelles portant sur l'utilisation de lactobacilli au cours du premier trimestre de la grossesse n'ont signalé aucune augmentation du risque de malformations (8, 9).

Notons également la présence de deux essais comparatifs randomisés et publiés concernant des femmes exposées à des probiotiques à partir du premier trimestre jusqu'à la fin de l'allaitement exclusif (7, 10). Les deux études ont examiné l'association de Lactobacillus rhamnosus et de Bifidobacterium lactis par rapport à un placebo. Aucune des deux études n'a été spécifiquement conçue pour examiner les résultats de la grossesse ; par conséquent, les malformations n'ont pas été signalées. Les deux études n'ont montré aucune différence significative en ce qui concerne l'âge gestationnel ou l'incidence des césariennes. 

PhysioFER

Complément alimentaire

à base de Fer haute assimilation, haute tolérance

Physionorm Baby

Complément alimentaire pour renforcer le microbiote intestinal du nourrisson dès la naissance.

Gynophilus® Oral - Flore intime

1er probiotique pour

rééquilibrer la flore vaginale

PHYSIONORM™ Magnésium Bisglycinate + Oméga-3

Formule anti-fatigue : Magnésium Bisglycinate, Oméga 3, Probiotiques et Vitamine B6


Conclusion sur l'utilisation des probiotiques pendant la grossesse

Selon les études et méta-analyses publiées, les probiotiques ne semblent pas poser de problèmes de sécurité sanitaire pour les femmes enceintes et allaitantes. La littérature scientifique actuelle n'indique pas une augmentation des résultats défavorables de la grossesse.


Quels compléments alimentaires choisir ?

Fort de son expertise dans le domaine de la complémentation alimentaire et en particulier dans celui des probiotiques :

Physionorm Magnésium Bisglycinate + Oméga-3 : pour couvrir au maximum les risques de carence de Maman et assurer la bonne croissance de Bébé.

Physionorm Baby : cure probiotique à prendre chez la femme enceinte dès le 8ème mois de grossesse, pour transmettre au bébé un microbiote sain lors de l'accouchement par voies naturelles.

PhysioFER : cure en fer élément à prendre chez la femme à risque de carence, sous l'avis d'un professionnel de santé.

Prepartum anaemia: prevention and treatment. Ann Hematol. 2008 Dec



Skulas-Ray AC, Kris-Etherton PM, Harris WS, Vanden Heuvel JP, Wagner PR, West SG. Dose-response effects of omega-3 fatty acids on triglycerides, inflammation, and endothelial function in healthy persons with moderate hypertriglyceridemia. Am J Clin Nutr. 2010 Dec 15. PubMed PMID: 21159789



Amplification of mGlu5-Endocannabinoid Signaling Rescues Behavioral and Synaptic Deficits in a Mouse Model of Adolescent and Adult Dietary Polyunsaturated Fatty Acid Imbalance. Antonia Manduca, Anissa Bara, Thomas Larrieu, Olivier Lassalle, Corinne Joffre, Sophie Layé and Olivier J. Manzoni. Journal of Neuroscience 19 July 2017, 37 (29) 6851-6868; DOI: https://doi.org/10.1523/JNEUROSCI.3516-16.2017



Boyle RJ, Mah LJ, Chen A, Kivivuori S, Robins-Browne RM, Tang ML. Effects of Lactobacillus GG treatment during pregnancy on the development of fetal antigen-specific immune responses. Clin Exp Allergy. 2008;38(12):1882–90. Epub 2008 Sep 24.



Kopp MV, Goldstein M, Dietschek A, Sofke J, Heinzmann A, Urbanek R. Lactobacillus GG has in vitro effects on enhanced interleukin-10 and interferon-gamma release of mononuclear cells but no in vivo effects in supplemented mothers and their neonates. Clin Exp Allergy. 2008;38(4):602–10. Epub 2007 Dec 20.



Kukkonen K, Savilahti E, Haahtela T, Juntunen-Backman K, Korpela R, Poussa T, et al. Long-term safety and impact on infection rates of postnatal probiotic and prebiotic (synbiotic) treatment: randomized, double-blind, placebo-controlled trial. Pediatrics. 2008;122(1):8–12.



Huurre A, Laitinen K, Rautava S, Korkeamäki M, Isolauri E. Impact of maternal atopy and probiotic supplementation during pregnancy on infant sensitization: a double-blind placebo-controlled study. Clin Exp Allergy. 2008;38(8):1342–8. Epub 2008 May 8.



Jick H, Holmes LB, Hunter JR, Madsen S, Stergachis A. First-trimester drug use and congenital disorders. JAMA. 1981;246(4):343–6.



Aselton P, Jick H, Milunsky A, Hunter JR, Stergachis A. First-trimester drug use and congenital disorders. Obstet Gynecol. 1985;65(4):451–5.



Luoto R, Laitinen K, Nermes M, Isolauri E. Impact of maternal probiotic-supplemented dietary counselling on pregnancy outcome and prenatal and postnatal growth: a double-blind, placebo-controlled study. Br J Nutr. 2010;103(12):1792–9. Epub 2010 Feb 4.

Réaliser mon diagnostic
Paiement 100% sécurisé
Paiement sécurisé avec Stripe
Livraison gratuite dès 40€
Pas de frais d'expédition pour les commandes plus de 40 €
Expédition rapide
Livraison en 48 h, si vous passez votre commande avant 12H00.
L’expertise française
Laboratoire Français