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Pourquoi le Fer est si indispensable à notre santé ?

fer anémie

La carence en fer est une des plus présentes dans le monde, plus de 1,5 milliard de personnes seraient concernées par cette carence. En France, 33 % des femmes sont touchées, 40 % des femmes enceintes et 42 % des enfants ! Pourtant, le fer est essentiel au bon fonctionnement de notre organisme ! Le fer est l’oligoélément le plus abondant du corps humain.

D’où viennent ces carences ? Quels en sont les risques ? Quelles sont les personnes touchées ?


Le fer joue un rôle important en tant qu’élément constitutif de l’hémoglobine, une protéine des globules rouges qui est indispensable au transport de l’oxygène des poumons vers toutes les cellules du corps humain. Il participe également au processus de division cellulaire. Il est à noter que certains éléments peuvent affecter l’assimilation du fer. Par exemple, la vitamine C favorise l’absorption du fer. Il est donc intéressant de manger avec des aliments riches en fer, des fruits et des légumes riches en vitamine C. Avec les protéines, le fer entre dans la composition d’enzymes, il joue alors le rôle de catalyseur des réactions biochimiques, et est essentiel à la vie des micro-organismes, des cellules végétales ou animales… sans fer, il n’y a pas de vie humaine.

Deux protéines représentent 70% des sources du fer corporel : l’hémoglobine dans le sang et la myoglobine des muscles.

Il est donc important de garder un taux de fer corporel suffisant… Le problème est que nous en perdons quotidiennement : par la sueur, par exfoliation (peau, poils, ongles), dans les excréments, mais aussi par les pertes sanguines, dont les menstruations chez la femme. En plus de cela, lors de la grossesse ou de l’allaitement, il faut y ajouter les besoins du fœtus.

Pour un homme adulte ou une femme ménopausée, les pertes de fer sont estimées à 14 µg par kg corporel, environ 1 mg par jour. Les pertes quotidiennes peuvent atteindre 5 mg par jour pour une femme en âge de procréer. Il faut donc les compenser.

Les besoins en fer chez d’adulte varient de 1 à 2 mg par jour. Cependant, le fer que l’on ingère n’est que très partiellement assimilé. En effet, une alimentation normale apporte environ 10 à 15 mg de fer par jour, mais seulement 5% sont absorbés par l’organisme. On recommande donc un apport nutritionnel de 18 mg de fer pour une jeune femme en âge de procréer par jour, les recommandations sont de 8 mg pour l’homme et varient de 7 à 11 mg pour un enfant de 3 à 15 ans.

En outre, le type de source de fer est très important pour optimiser son assimilation.

D’où viennent les carences en fer ?


On est considéré comme carencé en lorsque nos réserves corporelles en fer sont inférieures à une norme déterminée par le corps médical. La carence en fer est d’ailleurs considérée comme la carence nutritionnelle la plus fréquente au monde. Elle peut être provoquée par une maladie (comme des ulcères gastriques, un cancer colo-rectal, des diarrhées chroniques…) ou être en lien avec un apport quotidien insuffisant : alimentation déséquilibrée, régime végétalien, programme minceur…

La carence en fer est évaluée à l’aide d’une formule sanguine complète en mesurant la ferritine dans le sang. La ferritine est une protéine présente dans toutes les cellules du corps, mais surtout dans les cellules qui servent d’organes de stockage du fer comme la moelle osseuse, les muscles squelettiques, la rate, le foie, et, bien sûr, les cellules sanguines.

Une carence en fer est diagnostiquée lorsque les analyses ne dépassent 15 µg/L de ferritine dans le sang. Ce seuil est une indication moyenne, il dépend du sexe, de l’âge, de l’état de santé et il sera ajusté en fonction de ces éléments. Par exemple, une femme adulte, l’intervalle de référence est de 18 à 160 µg/L. Pour un homme adulte, la teneur en ferritine jugée dans la norme se situe entre 18 à 270 µg/L en France.

Une carence prolongée de fer entraine une anémie dite « ferriprive », entrainant un déficit en globules rouges dans le sang. Chez l’homme, elle est déclarée quand l’hémogramme (analyse des globules rouges) indique un taux d’hémoglobine inférieur à 130 g/L et à 110 g/L chez la femme. On considère une anémie comme sévère quand le taux d’hémoglobine est inférieur à 70 g/L.

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L’anémie peut avoir d’autres causes que la carence en fer, comme un manque de vitamine B12 dans votre alimentation par exemple. Dans la plupart des cas, cependant, elle résulte d’une perte de sang (94,4 % des cas), d’une mauvaise digestion ou absorption du fer (17,8 %) et d’un apport alimentaire insuffisant en fer (6,6 %). Concernant les pertes sanguines, l’origine digestive (gastrite/inflammation de la paroi de l’estomac ou ulcère peptique) est la première cause chez l’homme. Chez la femme, l’origine est principalement gynécologique. L’anémie ferriprive (anémie par carence en fer) est la principale source d’anémie chez la femme enceinte (plus de 90% des cas). Dans les pays occidentaux, l’anémie par carence en fer concerne 10 à 20% des femmes enceintes non supplémentées en fer, contre moins de 5 % des femmes enceintes supplémentées en fer au cours de leur troisième trimestre de grossesse.

Les symptômes d’une carence en fer


Lorsqu’on est carencé en fer, on peut ne pas être attentif à certains signes. On associe ces signes à un coup de fatigue, une mauvaise alimentation et parfois même à une autre carence. Et même lorsque nous entamons la démarche d’aller voir un médecin et de faire une prise de sang, nous sous-estimons parfois l’importance et l’impact d’une carence en fer sur notre quotidien.

Nous ignorons à tort les conséquences sur notre santé. Par exemple, une carence en fer peut entraîner une fatigue quotidienne. Nous manquons d’hémoglobine dans nos globules rouges, car ceux-ci sont constitués de fer. Ainsi, lorsque nous en manquons, cette substance ne délivre plus assez d’oxygène dans notre corps et nous nous sentons épuisés. Une carence en fer peut également conduire à être plus facilement essoufflé. La respiration devient difficile même avec peu d’effort en raison du manque d’oxygène. De même, si l’on ne cesse de vous dire ces derniers temps que votre teint est pâle et que vous semblez manquer de vitalité, cela pourrait aussi être un signe de carence.

Les rhumes en chaîne et autres infections sont des symptômes de carence en fer. Bien que les virus aient épargnés les organismes pendant le Covid-19 avec les gestes barrières, ils font maintenant un retour en force. Par ailleurs, une carence en fer non traitée peut provoquer à termes des palpitations cardiaques plutôt inhabituelles. Il est donc important de tenir compte de ces symptômes : d’une manière générale tout les signes d’un organisme affaibli et symptômes spécifiques comme ; des douleurs aux gencives, des problèmes de mémoires et une baisse de la capacité de travail.

Cela peut aussi être des contrariétés mineures comme des ongles cassants, une chute excessive de cheveux ou une simple diminution de la température corporelle, c’est la raison pour laquelle il est important de faire des prises de sang régulièrement.

Pour les jeunes enfants et adolescents, cela peut même entrainer des troubles du développement et de la croissance.

Quelles conséquences pour notre santé ?


Comme le fer est un élément très important de notre organisme, les effets de la carence en fer peuvent être multiples. Une carence peut conduire à des troubles du sommeil, un état de fatigue prolongé, surtout chez les adolescentes qui ont des règles abondantes. Cela peut même conduire, pour les femmes enceintes, à des naissances prématurées, et/ou à des enfants nés à des poids inférieurs à la norme voire avec des risques de déficits mentaux dans de rares cas. Le syndrome des jambes sans repos serait lui aussi en partie lié à un déficit de fer, plus présentement chez les femmes enceintes.

Des carences en fer sans anémie existent et sont même très fréquentes (la teneur en globules rouges reste normale), cette carence empêche le fonctionnement normal de nombreuses fonctions de l’organisme : fonctions cognitives troublées (réflexion, concentration, mémoire…), fatigue, adaptation à l’effort plus difficile… Malheureusement, cette carence est généralement sous-estimée, car plus difficile à identifier pour les professionnels de santés et pour le patient qui en souffre. L’indicateur dosé est ici la ferritine. Lorsque l’anémie n’est pas encore déclarée, on ne fait pas forcément attention à une simple carence en fer en cas de chute de cheveux ou d’un état de fatigue, on pense plus facilement à d’autres problèmes de santé.

Pourtant, la carence alimentaire en fer est ainsi considérée comme la première dans le monde’après “DALYs” (“disability adjusted life years”) – cet indicateur est le nombre d’années de vie en bonne santé perdues, en lien avec une ou des maladies et les conditions de vie (Salomon, 2014). En France, cet indicateur est “l’Espérance de vie corrigée de l’incapacité” (EVCI).

Les maladies cardiovasculaires sont en cause dans 21 % des DALYs en France, le cancer étant la deuxième maladie la plus présente (13 %).  Pour ce qui est du fer, en Europe, le poids de morbidité des anémies ferriprives est de 6,3 % des DALYs. Dans d’autres zones, elle constitue un facteur de décès prématuré beaucoup plus important : 40 % des DALYs en Asie du Sud-Est, 19 % dans le Pacifique Ouest, 17 % en Afrique, 8,1 % sur l’ensemble de l’Amérique.

En France, la morbidité due à une anémie ferriprive pour les femmes de 25 à 44 ans est évaluée à 6,5 DALYs pour 100 000 individus par an, soit 16 DALYs pour l’ensemble d’une vie. Malheureusement, la consommation de viande de bœuf, même en atteignant une moyenne de 100 g de viande hachée par jour, n’élimerait pas complètement l’anémie ferriprive chez ce public, cependant il abaisserait le DALYs de 16 à 7,2 (pour 100 000 individus et pour une année).

Carence et anémie : qui est touché ?


On estime que plus de 50% de la population mondiale est carencée en fer, anémique ou non. Selon l’OMS, 2 milliards d’humains sur terre seraient en plus anémiés. La carence en fer ne fait aucune discrimination, elle peut être présente, quel que soit le niveau de vie (PIB, IDH), le sexe, l’âge, le groupe ethnique…

Il y a néanmoins quelques nuances : les femmes qui sont en âge de procréer sont les plus touchées, viennent ensuite les enfants. Pour vous donner une idée aux États-Unis, alors que seulement 3 % des hommes adultes (moins de 70 ans) sont anémiques ou déficients en fer, ce chiffre monte de 9 à 16 % pour les femmes de 12 à 49 ans.

De l’autre côté de l’Atlantique, 1,6 % des hommes français sont anémiés contre 8,8 % des femmes, dans 75 % des cas, c’est à cause d’un déficit en fer. 5 % des hommes de 25 à 44 ans seraient carencés en fer, comparativement à 32 % des femmes de 25 à 44 ans (non ménopausées). Cette carence atteindrait 44 % des jeunes filles de 15 à 17 ans en France, c’est considérable ! En effet, lors de l’adolescence, l’organisme est en pleine croissance, ces besoins nutritionnels sont nettement augmentés. Les jeunes filles ont des besoins en fer sont de l’ordre de 1,65 mg/j ces besoins sont liés à la croissance et à la compensation des pertes liées aux premières menstruations. Il est donc logique qu’elles soient plus carencées proportionnellement. Surtout que l’alimentation ne peut suffire pour que le corps absorbe de telles quantités, notamment en cas de régime spécifique. Pour rappel, 100 g de bœuf contiennent entre 4,1 et 7,1 mg de fer et 100 g de lentilles cuites contiennent en moyenne 1,59 mg de fer.

On peut ainsi miser sur un apport de fer de 7 mg de fer par repas, l’apport conseillé pour une adolescente est de 16 mg/j. Or le fer d’origine végétale (non héminique) est 4 à 5 fois moins absorbé que le fer d’origine animale (héminique) ! En conséquence, pour avoir un apport suffisant, il faudrait manger en grande quantité ce type d’aliment, ce qui n’est pas bon pour le système cardiovasculaire et peut être coûteux !

Un autre groupe est concerné par l’anémie : les pratiquants de sport de fond (trail, marathon, ultra-trail) qu’ils soient jeunes ou moins jeunes (plus de 50 ans). Les origines de ces déficiences en fer causées par l’effort sont multiples : sudation/sueurs et pertes urinaires plus importantes, parfois hémolyse (destruction de globules rouges) et saignement digestif. Cette hémolyse, par exemple observée durant un ultra-trail, proviendrait des chocs répétés dus à la foulée sur une longue période, lorsque les pieds frappent le sol, les globules rouges circulants éclatent en raison de l’impact des pas. La carence en fer alors observée peut aussi être également due à l’hémodilution (à cause des prises abondantes de boissons durant et après l’effort). L’effet disparaît après 48 heures.

Carence en Fer : comment y remédier ?


La meilleure solution, reste toujours d’avoir une alimentation saine et équilibrée.

Avoir différentes sources de fer dans son alimentation doit vous permettre d’arriver à avoir l’apport conseillé journalier.

Exemple :

 – Viande rouge 100 g → 6 Mg* de fer 

 – Cumin 10 g → 6,64 Mg* de fer

 – Thym 10 g → 1,75 Mg* de fer 

 – Lentilles 50 g → 3,264 Mg* de fer 

 – Haricots rouges 50 g → 3,345 Mg* de fer 

Sur 20,99 mg de fer dans un repas, on assimile en moyenne 20 % du fer, ce qui veut dire que l’organisme pourrait théoriquement assimiler 4,2 mg de fer par repas.

Comme vous pouvez le voir, avoir un bon apport en fer lors de votre repas n’est pas une tâche facile, car tout le fer consommé n’est pas assimilé par l’organisme, donc manger des aliments riches en fer en quantité adaptée et régulièrement est essentiel. Un problème subsiste, la viande rouge coûte cher et son excès peut augmenter le risque de complications cardiovasculaires notamment, de même la recette que nous venons de vous décrire peut ne pas convenir au régime de tous. Pour finir, il faudrait manger ce type de recette riche en fer tous les jours pour se rapprocher de l’apport quotidien conseillé.

C’est pour toutes ces raisons que les solutions pharmacologiques sont si nombreuses, car se supplémenter en fer peut être une alternative pour atteindre l’apport quotidien en fer recommandé et renforcer ses réserves.

Cependant, les solutions proposées par les laboratoires ne sont pas toujours adaptées. Les sels de fer ordinaires comme le sulfate de fer, le fumarate de fer, le gluconate fer indiqués par voie orale… Aucune de ces formes de fer n’est dépourvue d’effets indésirables, pouvant conduire à un arrêt soudain de la prise du traitement.

Le sulfate de fer et fumarate de fer : utilisés pour combattre les carences en fer, ces forme de fer soufrent d’une mauvaise assimilation par l’organisme et peuvent entrainer de gros problèmes de digestion : constipation, maux de ventre, diarrhées, selles noires…

Le gluconate fer : de même que son cousin, il est utilisé contre l’anémie et les carences en fer. Il soufre de mêmes maux, une mauvaise biodisponibilité. Comme il est mal assimilé par l’organisme, il va lui aussi vous donner des problèmes digestifs (nausées, maux de ventre, constipations), voire des vomissements.  

Le bisglycinate fer est souvent décrit comme mieux assimilé que les sels de fer vus précédemment, même si ce bénéfice est encore controversé par plusieurs études cliniques réalisées au sein de la communauté scientifique. Il limite certes les effets secondaires mais n’en est pas dépourvu pour autant. De plus, ces formes ne protègent pas de l’effet pro-oxydant du fer, responsable du vieillissement prématuré de nos cellules (et donc du développement de maladies cardiovasculaires, de maladies neurodégénératives, infectieuses et encore de cancers).

Le Lipofer® microencapsulé présent dans notre Physiofer ne soufre donc d’aucune comparaison. Il est jusqu’à 5 fois mieux assimilé par l’organisme que les formes de fer (tests pré-cliniques réalisé sous contrôle scientifique). Il a ainsi une tolérance digestive maximale : pas de maux de ventre, ni constipation, ni nausées… Donc, contrairement aux compléments en fer médicamenteux classiques et aux produits conseillés contre les carences en fer, il ne provoque aucun effet secondaire ! La micro-encapsulation du fer lui permet de ne pas présenter d’effet pro-oxydant, même associé à la vitamine C, et protège ainsi l’organisme du phénomène de stress oxydatif. Enfin, il a très bon goût, primé sur plusieurs salons professionnels, c’est toujours un plus d’avoir un goût agréable lorsqu’on prend du sirop, surtout quand on connait le goût métallique désagréable des autres médicaments contre les carences en fer, notamment chez l’enfant…

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