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La ménopause est une période de bouleversements hormonaux qui impactent inévitablement notre corps via des symptômes physiques et psychiques. 80% des femmes disent souffrir de symptômes autres que l’arrêt des règles tels que des bouffées de chaleur incessantes, une fatigue importante, une prise de poids ou encore des sécheresses vaginales…
Lorsque ces symptômes finissent par altérer la qualité de vie des femmes, la HAS (Haute Autorité de Santé) reconnaît que les traitements à base d’hormones ont un intérêt, mais seulement s’ils sont pris aux doses les plus ajustées possible et sur des temps courts. En connaissant les risques associés à ces traitements hormonaux, nombreuses sont les femmes qui cherchent à soulager leurs maux autrement. Et heureusement il existe plusieurs alternatives aux traitements hormonaux des symptômes de la ménopause !
Comment se déclare la ménopause ?
L’arrêt des cycles menstruels chez la femme passe généralement par une phase de transition, appelée préménopause, qui se manifeste par des règles qui deviennent irrégulières, un syndrome prémenstruel accentué, et d’autres manifestations inhabituelles du corps. La ménopause est déclarée à partir de 12 mois sans règles, et les symptômes peuvent durer entre quelques mois et plus de dix ans selon les femmes, ce chiffre étant très variable.
Quels sont les principaux symptômes de la ménopause ?
On dit des troubles de la ménopause qu’ils sont climatériques, c’est-à-dire qu’ils sont liés aux modifications hormonales associées à l’arrêt du fonctionnement des ovaires. En effet, le stock de follicules (structures de forme circulaire dans lesquelles se développent les ovocytes) est présent dès la naissance et reste le même tout au long de la vie de la femme, ce qui veut dire qu’il est limité dans le temps. Lorsqu’ils arrivent à épuisement, les ovaires ne libèrent plus d’ovocytes et la femme n’a plus ses règles. La production de progestérone s’arrête, puis c’est au tour de la production d’œstrogènes de se stopper. C’est la ménopause.
Les bouffées de chaleur
Sensation de chaleur intense, rougeurs, palpitations, sueurs abondantes, les bouffées de chaleur en font voir de toutes les couleurs ! Elles sont les principales manifestations de la ménopause et nombreuses sont les femmes qui y cherchent une solution. Elles sont très handicapantes car elles peuvent survenir jusqu’à plusieurs fois par heure et sont responsables de sueurs nocturnes qui impliquent des réveils fréquents pendant la nuit.
Pourquoi ? On sait que les œstrogènes jouent un rôle dans l’aide au maintien d’une température constante de l’organisme, et que leur dérèglement conduit à des variations de la circulation sanguine, entraînant alors une sudation importante et une impression de chaleur.
Probiotiques sphère intime
Les symptômes urogénitaux
Sécheresses vaginales, irritations, envies fréquentes d’uriner… sont autant de manifestations de la ménopause qui sont difficiles à appréhender pour les femmes. En effet, le vagin, l’utérus et la vessie sont très sensibles aux variations d’œstrogènes, tout comme la peau qui subit un amincissement et un assèchement qui accentuent les rides et le vieillissement. Les sécheresses vaginales sont très problématiques pour le confort des femmes et parfois pour leur vie sexuelle.
La fatigue et les autres symptômes psychiques
Des insomnies sont à l’origine d’une fatigue plus ou moins intense qui mène, directement ou non à des troubles de l’humeur, de l’anxiété et parfois un syndrome dépressif. Il est possible de prendre du magnésium qui aide à lutter contre la fatigue et le manque de sommeil, et calme l'anxiété pour retrouver une bonne santé mentale.
Quels sont les risques à plus ou moins long terme ?
Le déficit d’œstrogènes à la ménopause peut mener à des pathologies à différents degrés de gravité. Parmi celles-ci, l’ostéoporose ou les maladies cardio-vasculaires sont des risques réels dont il faut mesurer les conséquences. La prise de poids peut elle aussi être importante lors de la ménopause et il faut veiller à maintenir une activité physique régulière pour éviter le surpoids, voire l’obésité. En effet, c’est un facteur de risque majeur d’autres pathologies plus importantes telles que le diabète ou l’insuffisance cardiaque.
Quelles associations de remèdes naturels pour diminuer les troubles de la ménopause ?
Seulement 8 à 10% des femmes prennent un traitement hormonal pour soulager leurs troubles. Quels sont leurs remèdes préférés pour éviter d’avoir recours à ces traitements ?
- De nombreuses femmes adoptent un régime alimentaire plus sain, en évitant au maximum tout ce qui est salé, ou trop riche en acide gras saturés, et en règle générale, tout ce qui est trop calorique. Il est important de maintenir un mode de vie sain et d’avoir une activité sportive très régulière.
- Beaucoup commencent le yoga, la méditation ou la sophrologie pour combiner les effets de la relaxation à ceux d’une meilleure alimentation.
- D’autres médecines alternatives telles que l’aromathérapie ou l’homéopathie sont très demandées pour essayer de réduire les signes de la ménopause. Parmi ces différentes options, se distingue aussi l’utilisation de compléments alimentaires, de plus en plus prisée par les consommatrices.
Quels compléments alimentaires pour aller mieux ?
Les études menées sur les compléments alimentaires pour soulager les signes de la ménopause sont concluantes
De nombreuses études ont été menées sur les ingrédients susceptibles de soulager les symptômes les plus courants de la ménopause. A l’heure actuelle, les femmes attendent de réels résultats et surtout une vraie rapidité dans l’action des compléments alimentaires achetés.
Il s’agit donc de fournir des preuves à la fois sur des tests d’usage, mais aussi des tests cliniques, plus poussés dans leur démarche scientifique, et qui fournissent des preuves plus solides d’efficacité de certains ingrédients. Les ingrédients les plus souvent cités pour leur efficacité sont souvent le soja et le houblon qui sont des phytoœstrogènes.
Quels sont les risques associés aux phytoœstrogènes ?
Les phytoœstrogènes sont des phytohormones, c’est-à-dire des hormones végétales qui ont une activité naturelle qui se rapproche de celle des œstrogènes car ils ont une affinité pour les mêmes récepteurs dans notre organisme. On les retrouve principalement dans le soja, le trèfle rouge, l’actée à grappes noires ou encore le houblon qui sont présents dans de nombreux compléments alimentaires indiqués dans les troubles de la ménopause, mais aussi dans de nombreuses graines et céréales (lin, avoine, orge…).
La liste attribuée aux bienfaits des phytoœstrogènes pour la santé est longue : réduction du risque d'ostéoporose, de maladies cardiaques, de cancer du sein et de symptômes de la ménopause, etc… Mais nombre d'entre eux sont également considérés comme des perturbateurs endocriniens, ce qui indique qu'ils peuvent également avoir des effets néfastes sur la santé . Attention, les recherches sont encore trop légères pour pouvoir conclure à un réel effet négatif sur l’organisme, puisque cela varie de manière très prononcée selon les femmes.
Il y a deux périodes pour lesquelles l’exposition aux isoflavones serait défavorable: la période néonatale et la ménopause. Les études ne sont pas assez nombreuses mais incitent tout de même à certaines précautions concernant la prise de phyto-oestrogènes chez les femmes ménopausées.
Utiliser des probiotiques pour les sécheresses intimes et rétablir l’équilibre vaginal
Les Lactobacillus sont des bactéries naturellement présentes dans la flore vaginale pour permettre d’acidifier les muqueuses vaginales (le pH) et ainsi de créer une barrière aux micro-organismes pathogènes qui pourraient rentrer. Le Lactobacillus reuteri joue un rôle important dans le soulagement des désagréments liés aux sécheresses vaginales. L’apport de probiotiques spécifiques permet de réensemencer la flore vaginale et donc de rétablir l’équilibre de celle-ci. Cet équilibre est indispensable au bien-être féminin et à la santé sexuelle des femmes.
La concentration conseillée en souches probiotiques doit être suffisante pour améliorer la santé vaginale, et les souches bactériennes utilisées doivent être documentées par la communauté scientifique. La forme en gélule est conseillée pour délivrer une quantité importante de probiotiques, et permet l’association de prébiotiques pour soutenir l’action bactérienne.
PHYSIOSTIM™ Équilibre Vaginal contient les cinq souches recommandées pour la santé intime de la femme. Ce produit est spécialement formulé pour offrir une solution complète pour maintenir un équilibre vaginal optimal. Il est efficace pour soulager les démangeaisons, les sensations de brûlure, les sécheresses vaginales, les mauvaises odeurs et les pertes vaginales. Il contient aussi des prébiotiques qui augmentent drastiquement l’efficacité des probiotiques
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La fatigue et les autres symptômes psychiques
Des insomnies sont à l’origine d’une fatigue plus ou moins intense qui mène, directement ou non à des troubles de l’humeur, de l’anxiété et parfois un syndrome dépressif. Il est possible de prendre du magnésium qui aide à lutter contre la fatigue et le manque de sommeil, et calme l'anxiété pour retrouver une bonne santé mentale.
Quels sont les risques à plus ou moins long terme ?
Le déficit d’œstrogènes à la ménopause peut mener à des pathologies à différents degrés de gravité. Parmi celles-ci, l’ostéoporose ou les maladies cardio-vasculaires sont des risques réels dont il faut mesurer les conséquences. La prise de poids peut elle aussi être importante lors de la ménopause et il faut veiller à maintenir une activité physique régulière pour éviter le surpoids, voire l’obésité. En effet, c’est un facteur de risque majeur d’autres pathologies plus importantes telles que le diabète ou l’insuffisance cardiaque.
Quelles associations de remèdes naturels pour diminuer les troubles de la ménopause ?
Seulement 8 à 10% des femmes prennent un traitement hormonal pour soulager leurs troubles. Quels sont leurs remèdes préférés pour éviter d’avoir recours à ces traitements ?
- De nombreuses femmes adoptent un régime alimentaire plus sain, en évitant au maximum tout ce qui est salé, ou trop riche en acide gras saturés, et en règle générale, tout ce qui est trop calorique. Il est important de maintenir un mode de vie sain et d’avoir une activité sportive très régulière.
- Beaucoup commencent le yoga, la méditation ou la sophrologie pour combiner les effets de la relaxation à ceux d’une meilleure alimentation.
- D’autres médecines alternatives telles que l’aromathérapie ou l’homéopathie sont très demandées pour essayer de réduire les signes de la ménopause. Parmi ces différentes options, se distingue aussi l’utilisation de compléments alimentaires, de plus en plus prisée par les consommatrices.
Utiliser des probiotiques pour les sécheresses intimes et rétablir l’équilibre vaginal
Les Lactobacillus sont des bactéries naturellement présentes dans la flore vaginale pour permettre d’acidifier les muqueuses vaginales (le pH) et ainsi de créer une barrière aux micro-organismes pathogènes qui pourraient rentrer. Le Lactobacillus reuteri joue un rôle important dans le soulagement des désagréments liés aux sécheresses vaginales. L’apport de probiotiques spécifiques permet de réensemencer la flore vaginale et donc de rétablir l’équilibre de celle-ci. Cet équilibre est indispensable au bien-être féminin et à la santé sexuelle des femmes.
La concentration conseillée en souches probiotiques doit être suffisante pour améliorer la santé vaginale, et les souches bactériennes utilisées doivent être documentées par la communauté scientifique. La forme en gélule est conseillée pour délivrer une quantité importante de probiotiques, et permet l’association de prébiotiques pour soutenir l’action bactérienne.
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Physiostim Équilibre Vaginal
Restaurer la flore vaginale
Sources :
https://www.inserm.fr/dossier/menopause/. Menopause, améliorer la sécurité d’utilisation des traitements hormonaux. Publié le 10/07/2017. INSERM
The pros and cons of phytoestrogens. Heather B Patisaul, Wendy Jefferson. Front Neuroendocrinol, Octobre 2010.
Sécurité et bénéfices des phyto-oestrogènes apportés par l’alimentation - Recommandations. Isabella Berta-Vanrullen, Carine Saul, Carole Thomann. Rapport de l’ANSES et de l’AFSSA. Mars 2005.